Clio

Aujourd’hui, je vous parle un peu d'une autre marque belge qui commence à se faire connaître mondialement: il s’agit de Clio Goldbrenner et sa marque éponyme.

Clio Goldbrenner, ce sont des sacs aux cuirs assez épais, de première qualité, aux formes esthétiques et pratiques. Les modèles sont féminins, simples sans pour autant être « passe-partout ». 
Les couleurs sont assez neutres (j’entends par là qu’il n’y a encore pas eu de sac fushia, par exemple).

Le signe distinctif de la marque? Une bande de cote de maille dorée ou argentée (selon la couleur du sac) qui orne tous les modèles.

Crédit: Clio Goldbrenner, website

Les prix restent raisonnables pour une marque définie comme luxueuse, variant de 100€ (pour une pochette) à 600€ (pour un sac grand format).

Aujourd’hui, je vous l'ai dit, la marque tend de plus en plus à être mondialement connue. Des boutiques s'ouvrent aux quatre coins du monde. Des célébrités telles que Sharon Stone, Virginie Effira ou Emilie Dequenne s’affichent souvent avec un Goldbrenner au bras. Clio Goldbrenner est pourtant une marque très jeune: elle était encore inconnue il y a trois ans. Une des clés du succès de Clio est certainement la simplicité des modèles proposés, tout en conservant un soucis du détail important.

Trève de bla-bla, place aux photos! (Et si vous cliquez dessus, vous pouvez même accéder à la boutique, hé ouais, je pousse au vice)(en fait pas vraiment parce qu’ils sont tous sold out)

Crédit: Clio Goldbrenner, website

Crédit: Clio Goldbrenner, website

Crédit: Clio Goldbrenner, website

Crédit: Clio Goldbrenner, website

La désolation des Dreyfuss

Je ne sais pas vous, mais moi j'ai un sacré faible pour les sacs Jérôme Dreyfuss.

J'ai eu l'occasion d'en avoir quelques uns entre mes mains: les cuirs sont plus que sublimes, les modèles vraiment jolis, intemporels et pratiques et les différents coloris proposées sont souvent parfaits (mais pas toujours, parce que parfois on se demande ce qui lui est passé par la tête, à Jérôme)(mais ça c'est une question de goûts).

Je vous le disais donc, je craque pour la marque depuis un bail (je dirais... 6 ans?)

Et figurez-vous que, il y a quelques mois, je rassemble toutes mes économies et, ça y est, je craque. Mais pour qui, allez-vous me demander? (Oui, si vous connaissez un minimum la marque, vous savez  bien sûr que Jérôme appelle toujours ses modèles par des prénoms masculins. Toujours.)

Jérôme Dreyfuss, modèle Billy
Crédit photo: ici

Je voulais le Billy, depuis le tout début. En noir, en cuir d'agneau effet "bubble". Et bien je l'ai vu en vrai au Printemps à Lille: il est moche, du moins selon moi (à nouveau c'est une question de goûts). Je trouve qu'il fait sac poubelle, et les hanses sont trop petites pour le mettre à l'épaule lorsque l'on a un manteau d'hiver. Je me ravise donc.

Et mes yeux se posent sur Bobi.

Jérôme Dreyfuss, modèle Bobi
Crédit photo: ici

PER-FE-CTION. Je l'aime, je le veux, je le commande. 

Une semaine plus tard, il est entre mes mains. Et là: désolation. 

Bobi est beaucoup plus petit que ce à quoi je m'attendais, et pourtant j'avais mesuré. 

Je panique. Je tente de mettre des trucs dedans, pour vérifier. Les trucs dont je ne peux pas me passer (quelque soit la taille du sac): smartphone, paquet de mouchoirs, beurre de cacao, porte-feuille, clés, etc. 

Alors, oui, il est canon, le cuir en grain de caviar est sublime et d'une qualité incomparable. Les détails sont tops. 

Oui, mais voilà. Je ne sais pas mettre mon porte-feuille dedans. Désolation (bis).

Ce n'est pas vraiment un énorme soucis quand on y pense, il suffit de retirer les essentiels du porte-feuille pour les mettre dans le sac, ou en acheter un plus petit juste pour pouvoir le caser dans Bobi. 

Mais à 600€, vous comprendrez que ça fait réfléchir. Beaucoup. 

Bref, je l'ai renvoyé au site où je l'avais acheté: www.lulli-sur-la-toile.com (et j'ai été remboursée sans le moindre problème dans la semaine qui suivait).

Déception déception, je ne vous raconte même pas. 

Mais, rassurez-vous, après ça j'ai couru chez Sandro pour m'acheter le modèle Absinthe que je vous présentais ici.

Du coup, Dreyfuss attendra encore un peu pour me voir avec un de ses bébés au bras. 

Etsy, caverne d'Ali Baba

L‘article d’aujourd’hui est synonyme de bons plans. Si vous ne connaissiez pas encore Etsy, vous allez être ravis (en plus ça rime).

Crédit photo: Etsy.com

KEZACO?

Etsy est une plate-forme  d’e-commerce entre particuliers (à la manière d’Ebay, les enchères en moins) qui se concentre principalement sur les objets « fait-main » et le vintage. Elle existe depuis 2005.

OÙ?

Vous pouvez vous rendre sur le site tout simplement en cliquant sur ce lien (mais attendez quand même d’avoir fini de lire mon article avant, parce qu’une fois qu’on y est, on en revient jamais)

www.etsy.com

QUOI?

Sur Etsy, c’est bien simple, vous pouvez tout trouver: de la déco, des bijoux, des vêtements, des accessoires high-tech, des sacs, des fournitures créatives pour vos propres DIY, des photographies, des peintures, etc. Bref, tout ce que vous voulez.

On peut y trouver de vraies perles rares en termes de créations « fait-main » qui seront dès lors uniques et originales. Et il y en a pour tous les prix.

WANT!

Mais ce qui nous intéresse ici ce sont surtout les sacs, alors voici quelques exemples de trésors dénichés sur le site. Il y a dans cette liste non-exhaustive du « fait-main » et du vintage.

Accéder à la boutique ici

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Sandro, oh Sandro

On devrait tous avoir « le petit sac noir » idéal dans son dressing, à l’image de « la petite robe noire » parfaite que toute femme aspire à avoir dans sa garde-robe.

Hé bien moi j’ai trouvé le mien ! Attention, roulement de tambours…

Sandro, Absynthe
Crédit photo: perso

Il s'agit d’un sac de la marque Sandro, le modèle "Absinthe" de la collection P/E 2014. Je l’ai acheté en boutique à Bruxelles dans le courant du mois d'août (le dernier du stock, c'était un signe).

C'est un sac de taille moyenne, coloris noir, en cuir de veau avec empiècements en daim et deux floches à franges sur la poche frontale, également en daim. Il comporte 5 poches zippées et deux poches kangourou: une poche sur le devant, deux poches "cachées" sur les côtés du sac (voir photos), une poche principale au milieu et trois petites poches au sein de la poche principale (un poche-ception, quoi). Bref, c'est un sac hy-per pratique. Il a un peu le design de la sacoche du docteur, je trouve. 

Les cuirs sont très souples, ce qui rend le sac bien malléable. Il est très agréable au toucher, on peut le prendre dans ses bras en mode "doudou" (oui, c'est un détail crucial). Les finitions sont vraiment parfaites: les coutures, les zips, etc. rien à redire.

Et l'odeur du cuir, mon dieu l'odeur du cuir... (non, je ne suis pas folle).

Bon, je pense qu'on l'aura compris, je suis dingue de mon sac Sandro. C’est le sac idéal. Et, en même temps, c'est tant mieux parce que à 395€, il vaudrait mieux ne pas regretter l'achat. Oui, c'est cher, mais la qualité est au rendez-vous, puis c'était une occasion particulière (non non je n'essaye pas de me justifier). 

Attention, entre-temps je ne sais pas pourquoi ils ont changé le nom du sac, les nouveaux modèles s'appellent désormais "Adel", et se déclinent en trois coloris (noir, gris et bordeaux) pour la collection actuelle A/H 2014. Le prix aussi a changé, il est passé à 435€ (ce qui me fait dire une fois de plus que j'ai bien fait de craqué en août !). 

Allez, sur ce, je vous laisse avec les photos de mon petit Sandro!

Crédit photo: perso

Crédit photo: perso

Crédit photo: perso

Et voilà des photos d'une moins bonne qualité (désolée) mais qui vous montre l'intérieur et l'arrière du sac !

Crédit photo: perso

Crédit photo: perso

Crédit photo: perso

Crédit photo: perso